Vendredi 10 septembre 2010
9h34 dans mon bureau avec une tasse de café
Mon rapport à l’écriture
Il n’est pas si évidant pour moi de dire, de poser des mots quant à ce sujet. Depuis la licence je me suis demandé pour qui j’écrivais ? En L3 je pense que c’était un acte thérapeutique et l’écriture m’était destinée afin de mieux me comprendre. Je savais être lu par les autres étudiants, mais je ne peux parler de transmission de l’expérience de « ma » vie.
Depuis mon enfance l’écriture était un acte lié à une commende : scolaire, professionnelle puis universitaire. Comment puis-je prendre du plaisir à ce qui ressemble pour moi à une contrainte ?
L’écriture au quotidien dans le cadre de mon cursus me revoie à moi même, j’ai du mal à supporter cette image. Que dois-je mettre en place afin de prendre plaisir à tenir un journal ? Je ne puis me contenter de regarder le côté négatif, il me faut reconnaître que j’ai profondément changé dans mon rapport au savoir. Je puis en prendre conscience en relisant les journaux des années précédente. Mais est-ce une fin en soi ? l’écriture, pour moi doit se partager. Le partage peut se faire, soit par le biais d’un blog (cette année mon journal est en ligne sous forme de blog), ou de publications dans des revues.
Je ne doit pas perdre de vu que je travaille dans le cadre du laboratoire EXPERICE et qu’à un moment de ma recherche il faudra publier afin de faire part de l’avancé de mon travail.
Dans le cadre de mon travail intentionnel c’est la parole qui prime, l’écrit reste au niveau des transmissions écrites dans le dossier de soins. Il n’y a pas de groupe de travail sur les pratiques professionnelles, pas d’écrit pour conceptualiser.
L’écrit est pour moi une étape de la conceptualisation, entre le moment ou je réfléchis et celui ou je doit coucher sur le papier afin de « décortiquer », analyser cette réflexion. C’est une gymnastique à laquelle je ne sens pas préparé. J’ai donc fait le choix de suivre un séminaire de doctorants à Strasbourg (les démarches sont engagées). J’en attends peut être trop, je désire appréhender plus en profondeur le travail méthodologique me permettant de conceptualiser ma pensée.
9h34 dans mon bureau avec une tasse de café
Mon rapport à l’écriture
Il n’est pas si évidant pour moi de dire, de poser des mots quant à ce sujet. Depuis la licence je me suis demandé pour qui j’écrivais ? En L3 je pense que c’était un acte thérapeutique et l’écriture m’était destinée afin de mieux me comprendre. Je savais être lu par les autres étudiants, mais je ne peux parler de transmission de l’expérience de « ma » vie.
Depuis mon enfance l’écriture était un acte lié à une commende : scolaire, professionnelle puis universitaire. Comment puis-je prendre du plaisir à ce qui ressemble pour moi à une contrainte ?
L’écriture au quotidien dans le cadre de mon cursus me revoie à moi même, j’ai du mal à supporter cette image. Que dois-je mettre en place afin de prendre plaisir à tenir un journal ? Je ne puis me contenter de regarder le côté négatif, il me faut reconnaître que j’ai profondément changé dans mon rapport au savoir. Je puis en prendre conscience en relisant les journaux des années précédente. Mais est-ce une fin en soi ? l’écriture, pour moi doit se partager. Le partage peut se faire, soit par le biais d’un blog (cette année mon journal est en ligne sous forme de blog), ou de publications dans des revues.
Je ne doit pas perdre de vu que je travaille dans le cadre du laboratoire EXPERICE et qu’à un moment de ma recherche il faudra publier afin de faire part de l’avancé de mon travail.
Dans le cadre de mon travail intentionnel c’est la parole qui prime, l’écrit reste au niveau des transmissions écrites dans le dossier de soins. Il n’y a pas de groupe de travail sur les pratiques professionnelles, pas d’écrit pour conceptualiser.
L’écrit est pour moi une étape de la conceptualisation, entre le moment ou je réfléchis et celui ou je doit coucher sur le papier afin de « décortiquer », analyser cette réflexion. C’est une gymnastique à laquelle je ne sens pas préparé. J’ai donc fait le choix de suivre un séminaire de doctorants à Strasbourg (les démarches sont engagées). J’en attends peut être trop, je désire appréhender plus en profondeur le travail méthodologique me permettant de conceptualiser ma pensée.
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